Contenus en rapport avec le mot-clé processus de paix

Les signaux faibles se multiplient : l’administration Trump semble se désintéresser du sort de l’Ukraine et prête à céder sur de nombreux points à la Russie. Donald Trump et ses proches ont la volonté d’en finir en Ukraine, montrant leur envie de signer « une paix », peu importe comment et peu importe les termes.

Les conditions de sécurités d'Israël reposent, selon Frédéric Encel, sur la conjugaison de trois conditions menant, in fine, à la solution à deux Etats. Une situation parfaitement susceptible d'advenir dans les prochains mois, estime-t-il.

Vladimir Poutine estime qu’un accord sera nécessaire pour mettre un terme au conflit en Ukraine. Il a néanmoins exprimé des doutes sur la « confiance » que Moscou peut accorder à ses interlocuteurs.

Après dix-sept mois de négociations, de pauses et de crises diverses, les Etats-Unis et l'Iran pourraient bientôt finaliser un nouveau Joint Comprehensive Plan of Action, si tant est qu'ils parviennent à surmonter d'ultimes divergences.

L’élargissement de l’OTAN ne se fera pas sans l’accord de Recep Tayyip Erdogan, l’unanimité des membres de l’Alliance étant requise. Le dirigeant turc a réaffirmé sa détermination à empêcher les pays nordiques comme la Suède et la Finlande d’intégrer l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord.

Des missiles russes ont frappé jeudi soir la ville de Kiev, en pleine visite du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. Il a notamment regretté que le Conseil de sécurité des Nations unies n'ait pas réussi à éviter la guerre en Ukraine.

Les Occidentaux n’interviendront pas militairement pour protéger l’Ukraine. En revanche, ils étudient l’utilisation d’armes de dissuasion massive contre les Russes en frappant leur portefeuille.

Selon des informations du New York Times, le chef de la CIA, William J. Burns, aurait rencontré un des représentants des talibans Abdul Ghani Baradar à Kaboul. Les évacuations se poursuivent à l'aéroport de Kaboul jusqu'à la date limite du 31 août.

Un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas a été approuvé. Serait-ce là, à terme, un moyen de résoudre la crise humanitaire dans Gaza ?

Le refus d'Israël quant à l'initiative française de la tenue prochainement d'une conférence internationale sur la résolution du conflit israélo-palestinien est un coup porté directement aux ambitions françaises de vouloir peser de plus en plus dans les affaires internationales.

Cinq chefs d'État et de gouvernement européens soutiennent le processus de paix au Yémen, amorcé par la roi d'Arabie Saoudite.